Non y'a pas d'images mais tout est bien detaillé, ça raconte l'histoire d'un marine Flint Taggart condamné à la cour martiale mais envoyé en urgence sur mars ...
Arrivé sur mars son anciene équipe l'attend sur place, mais aperement ils ont un problème et se font attaquer par des "choses bizzares" :p
Notre marine finit par s'enfuir afin de retrouver son équipe dispatché un peu partout dans la base souteraine de Mars... Il rencontre petit à petit certain de ses pote, transormés en ...
Allez voici un petit passage du premier zombie qu'il rencontre :
------------------------------------
Ne voyant rien de mieux à faire je repris mon chemin le long des couloirs. ils me méneraient bien quelque part... L'impression dêtre le seul survivant après la bataille m'incitait à faire moin attention.
Reprends-toi bougre d'imbécile ! me dis-je.
Fais gaffe où tu mets les pieds...Je me ressaisis à point nommé : au détour suivant apparut une silhouette humaine.
Je faillis tirer d'abord et poser des questions stupides ensuite.
Quand la trouille vous noue les tripes, il est facile de défourailler sur tout ce qui bouge.
C'était le caporal William Gates.
pas de doute, il s'agissait de mon vieux compagnon de beuverie. je reconnaissais sa cicatrice, sur le menton,et ses yeux écartés.
- Bill, qu'est-ce qui se passe? ça va ?... où sont les autres ?
Il marchait bizarement, surement à cause de la fatigue. au combat, les hommes ont parfois d'"tranges réactions, j'avais vu bien pire.
Il balbutia des mots incohérents, comem dans les vieux films d'horreur. il bavait.
Le regard fixe, il plasmodia, sans sembler me reconaître:
- la porte... la porte est la clef... la clef est la porte.
- Bill... c'est Fly, ton copain Fly !
Cette fois il m'entendit, car un horrible rictus déforma son visage. Quand il tira sur moi, je n'en crus pas mes yeux et plongeai errière un pilier.
- Arrête de tirer, bon sang ! Bill, c'est moi! Fly !
Bill continua d'avancer. Attéré, je rispostai. Vu qu'il était à moitié mort, il devait être facile de l'achever. il reçut la première balle dans la gorge, au dessus de sa combinaison en kevlar. Elle aurait dû suffire, mais ce fut la deuxième, dans la tête, qui l'abattit pour le compte.
malgré ça, son corps continuait de gigoter au milieu du sang et de la cervelle, comme un poulet à qui on a coupé la tête. les humains ne font pas ça; ils ne sentent pas non plus le citron pourri; l'odeur était devenue si entêtante que j'avais du mal à respirer.
Tremblat de la tête aux pieds, j'"tais ent rain de regarder... un zombie.
C'était comme un martelement dans ma tête...
Zombie, zombie, zombie ! Quelle connerie !
_______________________________________
Alors ? sa pète non :p